[BG] fanie & Honorata (c'est un peu long...)

Depuis plusieurs jours ma tête me faisait un mal terrible, et le regard de mes parents ne me rassurait pas, pas plus que les chuchotements docteur.
Maman était cuisinière à la cantina de Ancorhead et papa était chasseur ..... le désert, il aimait ça plus que tout.
J'avais quatre ans le jour où mes cornes ont percées mon front, ce fut un moment terrible, terrible dans la douleur, mais c'est surtout le fait que mes parents n'en avait pas qui me fit le plus mal.
Ils attendirent un peu et c'est vers mes six ans que j'appris que j'avais été adoptée, que j'etais une...... Zabrak comme ils disaient ....
J'ai longtemps portée des chapeaux pour cacher ces petites cornes, mais mes traits changaient très vite, mon visage devenait beaucoup plus dur que celui des autres petites filles.
Et puis avec le temps, je me rendis compte que l'endroit etait peuplé d'une multitude de races et que mes cornes n'effrayaient personne, alors je jettais mes chapeaux et arborais fiérement ma différence.
C'est à ce moment là que des cauchemards commencèrent a me révéiller toutes les nuits, de terribles cauchemards emplis de feu, d'explosions et de ... morts , des centaines de morts gisent partout autour de moi.
L'espace tournoie, je me trouve dans les bras de quelqu'un qui cours, tombe.. se relève.. puis retombe... rampe en me protégant de son bras ensanglanté, les bruits de bataille deviennent liontains, tout est sombre, le vert d'un regard empli de larmes est la dernière image juste avant que je me réveille dans un fracas assourdissant, couverte de sueur...
Toutes le nuits... Toutes le nuits je me réveillais en sueur, maman en pleurs assise a coté de moi me serrait la main ...


Un jour mon univers bascula dans l'abime.
Je fètais mon treizième anniversaire, maman avait demandé au patron de la cantina d'Ancorhead de preparer un gouté .
J'aimais beaucoup Tony. Tony c'était le patron de la cantina, tout le monde avait peur de lui, on disait dans le village que c'était un bandit, qu'il travaillait avec les Hutt.. Mais je savais qu'il avait un coeur énorme, il avait toujours un petit cadeau pour moi.
J'etais heureuse, le gouté battait sont plein, une quaizaine d'amis etaient là, tout le monde riait à coeur joie, quand un courant d'air ébouriffa nos cheuveux, des hommes en uniforme couvert de poussière venaient d'entrer, le visage de ma mère changea.
Inquiète, je me levais pour aller vers elle, pour lui demander qui étaient ces hommes qui apparament lui faisait peur, je passais a coté de leur table quand une main se glissa au bas de mon dos...

- Hummm.. mais elles sont toute fraiche ici....

Mes dents faillirent exploser... je continuais d'avancer en titubant vers ma mère qui n'avait rien vue...
- Quelque chose ne va pas ma chérie ?
- Non, tout va bien...
- ça a pas l'air..
- Si je t'assure ça va aller....
Je bégayais... Une vague de chaleur me submergait.
Je repartais vers mes amis en dissimulant un couteau de boucher que je vennait de prendre sur le comptoir, l'homme me fixait en souriant, la chaleur s'empara de mes tempes, le sang se mit battre en moi...
Le cri de ma mère....
"NOOOOOOOOOOON !!!!" Preceda le bruit sourd que fit la lame en traversant de part en part la gorge de l'officier, le sang gicla et éclaboussa la table et mon visage.
Les secondes de stupéfaction généale me suffirent a m'enfuir. Dehors une tempète de sable faisait rage, il ne me fallut que quelques instants pour disparaitre. Je courru.... Toujours plus loin, toujours plus vite, le vent chargé de sable gifflait mon visage ..... Qu'avais-je fait ? Je ne sais combien de temps je restais recroquevillée dans cette grotte, j'etais couverte de sang coagulé qui, en sechant, formait des croutes mélées de sueur, de sable et de larmes, quand j'entendis des bruits de pas.... Tapis dans une anfractuositée , la main crispée sur le manche du couteau, j'attendais... Mes phalanges me faisaient mal, je ne saurais dire ce que j'attendais, la fin de tout ça sûrement... Ma fin...

Une ombre approcha de moi, elle s'arrêta à quelques pas de ma cachette...
- Fanie... C'est moi.... Viens ma chérie...
C'était mon père ?! ... La grotte ! ... C'était la grotte où il se reposait des soleils pendant ses longues chasses, la grotte où souvent je le rejoignais pour lui apporter des provisions, dans ma détresse j'avais courru vers un endroit qui me rassurait; un endroit où je me sentais en securité au coté de mon père.
Le couteau glissa de mes mains et je me jettais dans ses bras en sanglotant.
- Je l'ai tué ! ... Papa... Je l'ai tué...!!
Mon père posa sa main rugueuse sur ma joue.
Il m'avait trouvé... Il m'avait cherché, avec un mouchoir et l'eau de sa gourde il netoyait mon visage et humectait mes lèvres déséchées.
Nous restions comme ça des heures, sans rien dire, sans bouger... Doucement ma colère retombait.
- Il est temps ma chérie, nous savions... Il est temps que tu sache...
- Que je sache quoi papa ?
- Que tu sache qui tu est.
- Je sais qui je suis... Je suis ta fille.
- Oui... Mais il est une veritée que tu doit connaitre, viens.
Il prit ma main et m'entraina hors de la grotte, son speeder était a une centaine de mètres.
- Papa...
- Oui ?
Ma gorge etait nouée...
- Que... Que s'est t'il passé... quand je me suis enfuie ?
Son regard transperça le mien, je baissais les yeux, mes jambes tramblaient et ma main se crispa.
- Plus tard, nous en parlerons ... plus tard.
Plus jamais nous n'en parlerions.
Deux heures plus tard, nous arrivions dans une petite vallée, perdue dans la partie rocheuse de la région. Nous n'avions pas échangé un mot pendant le voyage, je me sentais comme si j'avançais vers le bord d'une falaise d'où j'allais inéxorablement tomber.
Une petite maison etait construite sous un promontoir rocheux, un chemin sinueux et escarpé permettait d'atteindre la vieille mais robuste porte qui s'ouvrit devant nous. Il n'y avait rien dans la maisonette, aucun meuble, aucun objet, juste deux pieces couvertent de poussière. Je lançais un regard interrogateur a mon père, il me repondit par un sourire et planta une barre de fer dans le plancher qui craqua et se souleva. Je reculais lentement pendant qu'il s'affairait a démonter le plancher, je reculais comme si la chose la plus effrayante de l'univers allait sortir de se trou béant. Il en sorti une boîte metalique de petite taille, il la pausa sur le sol et se diriga vers la porte, s'arrêtant a ma hauteur il se tourna vers moi.
- Tu est forte ma fille, bien plus forte que tu ne le pense.
Il designa de son doigt le coffret métalique posé au centre de la pièce.
- C'était sur toi le jour où l'on t'a trouvée. Tu était à bord d'un petit cargo qui avait fait un attérissage en catastrophe dans le désert, il portait des traces de carbone, il devait avoir subit des tirs de turbo-laser. Il n'y avait que toi a bord... Tu avait deux ans.
- Je serai dehors.

A suivre...

La véritée.....
Je me retrouvais seule face à cette boite... Je fut prise d'un rire nerveux, comment... Comment cette ninuscule chose pouvait t'elle renfermer la verité, ma verité, la chose si longtemps cachée sous ce plancher miteux. J'essuyais la sueur de mes mains sur mon pentalon et m'aprochait lentement de la chose, et l'ouvrit... Un data pad... Je m'assayais et le serrais très fort... Une pensée m'envahie.
"Je pouvais le briser et tout continuerai comme avant."
Je souflais la poussière qui le recouvrait et l'ouvrit. Un petit "bip"... Une diode verte scintilla dans la pénombre... Les cellules énergétiques fonctionnaient toujours, la partie suppérieure etait un écran video grand comme ma main. J'en compris très vite le mécanisme et mon index s'approcha lentement du bouton qui lancerai l'enregistrement que l'appareil cachait dans ses entrailles electroniques depuis douzes ans. Mes tempes se remirent a bouillir, le sang afflua dans ma tête, mon doigt se mit a trembler.
"Clic"
L'écran s'emplit de neige... Puis une image, d'après l'angle de vue, l'appareil devait se trouver sur une table, la pièce était très sombre, mais des lumières clignotaient sur les murs , il y avait quelqu'un qui bougeait dans la pénombre. La lumière innonda la pièce de métal et dévoila la personne, elle portait une armure ou du moins ce qu'il en restait. C'etait une femme, une Zabrak comme moi, elle était couverte de sang et de brûlures, jamais je n'avais vu quelqu'un dans cet état. son visage s'approcha, ses yeux verts illuminairent le data pad... Mon coeur s'arrêta de battre, tout les poils de mon corp se dressèrent.... C'etait le visage des cauchemars qui ont hantés mes nuits, c'etait ma mère, je le savais.
- Ma chérie, je ne sais ce que nous allons devenir, mais nos chemins doivent se séparer... Ho mon amour, le temps me manque, j'aurais tant aimée rester avec toi et te voir grandir.
- J'ai programée le vaisseau pour qu'il passe la barre de l'hyper espace dès sa sortie de l'orbite, avec un peu de chance il franchira le barrage des vaisseaux de la République, il te conduira sur Naboo.
- On dit que c'est une belle planète et que les gens y sont doux et pacifique... Ho mon Dieu que s'est-il passé ! Maudit soit la République et maudit soit ces Jedi.
Une ombre venait de bouger derrière elle...
"MAMAN... DERRIRE TOI !" ... Je criais.
Un homme se tenait derrière elle, le visage de ma mère devant l'éran ne me permettait pas de le voir entièrement.
Elle se retourna pour lui faire face et je le vie , il portait une sorte de robe de laine claire, lui aussi était couvert de sang...
"Sauve toi maman ... sauve toi". J'etais prise de sanglots.
De la main droite de l'homme sortis... une sorte de lumière qu'il brandissait comme une épée.
Je du repasser cette scène un millier de fois au court de ma vie, c'est ma mère qui attaqua...
Malgrés ses blessures elle venait de se déplacer a la vitesse d'un fauve, l'homme progéta sa lame de lumière en avant, elle fit un écart à droite puis à gauche et elle s'élança en l'air en tournoyant sur elle-même, son bras droit décrivit un large cercle, dans sa main venait d'apparaître une lame courbée. La lame de lumière transperça l'épaule gauche de ma mère au moment où son bras droit terminait sa course et dans un grand revers elle trancha la gorge de l'homme dans une explosion de sang. Les corps tombèrent au sol dans un bruit sourd.
Ma respiration venait de s'arreter... Les secondes me parrurent interminables.
Le visage,crispé d'une douleur qui traversat mon âme, revint vers l'ecran .
- Je t'aime Fanie, mais je doit aller vers les miens et partager leurs destins, un jour tu comprendra...
"Non... Reste avec moi..." Je pleurais.
- Tu trouvera sur ce data pad toute nôtre histoire, l'histoire de nôtre famille, garde la secrète, ceux qui la connaitront voudront ta mort.
"Mammmman.. reste avec moi je t'en suppli..."
- Ne laisse jamais personne sâlir ton honneur, ni l'honneur des tiens... bat-toi !
- En fin de compte... Nous mourrons tous, nous ne pouvons malheureusement pas choisir notre mort, mais nous pouvons décider comment aller à son encontre.
- Je t'aime ma fille et je mourrais avec ton souvenir dans mon coeur, je mourrais le sourire au lèvres."
Elle embrassa l'écran... Et il s'eteignit... C'était la fin de l'enregistrement. Je le repassais plusieurs fois avant de regarder ce que renfermait le bloc de donnés du data pad. Il y avait des tonnes de données, des videos, des cartes, des holo-photos par centaines.
Les soleils venaient de se coucher je décidais que je consulterais plus tard ces données. Je rejoignais mon père a l'extérieur, il avait monté une tente et un petit scyk était en train de rôtir .
- Tu doit avoir faim...
Je m'asseyais a côté de lui et posais ma tête sur ses genoux...
- Nous ne rentrerons pas à la maison tu sais, demain nous partirons vers le nord.

La première histoire remonte à mon aïeule Athas-Isory, elle,son mari et sa fille avaient quités Iridonia lors d'une exode. Ils avaient fait plusieurs systèmes a bord de cargos, son mari était mort d'un tuberculose peu de temps après. Sa fille, Honorata, ma grand mère, était âgée de trois ans.
Ils avaient échoués sur une petite planète et recueillit par un groupe de gens qui y avaient etablit une sorte de temple... Des soeurs Echani. Très vite Athas-Isory et sa fille furent acceptées parmis les soeurs, Athas était trop âgée, mais les soeurs Echani aprirent à Honorata à se servir de son corp comme d'une arme, à l'âge de quinze ans elle devint l'une d'entre elle.
Deux ans plus tard Honorata se trouvait à bord d'un cargo qui partait pour un pélerinage avec plusieurs soeurs Echani, le vaisseau se trouva pris au piège au milieu d'une bataille spatiale près d'une planète, touché par des tirs, le vaisseau dû se poser sur un lune. Tout le monde à bord était mort et Honorata était mortelement blessée. Elle se réveilla dans une sorte de campement, on l'avait soignée. Hommes et femmes portaient de superbes armures, tout dans leur attitude et dans leurs tenues montraient leur nature guerrière. Après plusieurs semaines de convalescence, les femmes qui s'occupaient d'elle l'accompagnèrent devant celui qu'elles appellaient "Mereel"... leur chef.
Ces hommes et femmes etaient des gueriers Mandalorien... Ce qui restait des guerriers Mandaloriens pour etre plus precis. Mereel etait un homme fort, au charisme impressionant. Il signifia a Honorata qu'elle avait le choix de les quiter sur le chant ou rester et de les servir, ils avaient besoin de femmes pour les tâches domestiques. Intriguée par ces guerriers, Honorata décida de rester malgrès son status qui resemblait plus a l'esclave qu'a la cuisinière. Les premiers temps furent très durs, les Mandaloriens étaient humains et particulièrement sectaires, mais leurs coutûmes et leur code de l'honneur la facinait.
Un jour alors qu'elle leur servait à manger, elle renversa une assiette sur un des hommes du clan, un dénnomé Oknood, celui ci se leva et la giffla si violement quelle tomba au sol, les levres fendues...
Il se rassi en riant, seul lui riait, car beaucoup aimaient Honorata. La colère la submerga, cet homme vennait de la frapper pour rien, simplement par plaisir. Elle connaissait les coutumes de ces hommes et de ces femmes et elle fit une chose qui surppris tout le monde, elle venait de défier Oknood.
Mereel lui meme se leva et intervin
- Honorata, tu ne peux faire ça, nous aimons tous ta nouriture et ta gentillesse, te voir mourir ferais de ce jour un triste jour".
Honorata avait les yeux fixés sur Oknood.
- Chien... ! Tu ose frapper une femme, n'a tu a ce point si peu d'honneur, que quand elle te défie tu n'ose te lever ?
Mereel S'interposa.
- Honorata ne fait pas sa ! ....
Mais ses épaules retombèrent... Il savait que les paroles d'Honorata venait de scéler la situation, Honorata le savait aussi, tout le monde ici le savait et un silence de mort peusa dans la piece.
- Tu a choisi ta mort Zabrak, pour ça, tu viens de remonter dans mon estime.dit Oknood en se levant.
Personne ici ne soupçonnait que cette jeune femme maitrisait l'art du combat Echani et c'est avec l'assurance d'un fou et une dague à la main qu'Oknood s'approcha. De sa main droite il la saisie part le cou et leva très haut son poignard et frappa... Mereel et les autres detournèrent leurs regards.
- Meurt esclave !
A l'instant où la dague allait percer sa poitrine, elle pivota de tout son corp, sa main droite venait de saisir le poignet de l'homme qui tenait sa gorge, tandis que l'arête de sa main gauche vint s'appuyer sur son coude. Un craquement sourd se fit entendre, elle se déplaçait a une vitesse stupéfiante, le coude d'Oknood venait de litréralement exploser et il tomba a genoux. Dans sa rotation, Honorata se retrouvait a présent dans son dos. Oknood n'u que le temps de tourner la tête et de jeter un regard stupéfait à celle qui allait le tuer. Le point percuta le sommet de son crâne comme un marteau, le sang coula de ses oreilles et de son nez... Il mourut et s'écroula lentement. Elle venait de tuer un des officiers du clan, elle s'agenouilla...
- Je vous appartient Seigneur Mereel, faites de moi ce que vous voulez.
- Lève toi Honorata, plus jamais tu ne t'agenouillera devant personne, tu viens de nous rapeller une règle fondamentale qu'Oknood avait oublié. Ne jamais sous-estimer la valeur de son adversaire.
- Tu peu desormais être des notres si tu le désire.
Ce jour là , ma grand mère devint une guerière Mandalorienne.

Le clan était en guerre, une guerre fratricide. Une séparation avait divisée le clan initial il y a une dizaines d'années, une partie etait restée fidèle aux codes Mandaloriens, le clan de Mereel. Une autre partie se faisait desormais appelée les "Death Watch", une bande de brigands sous le commandement de Viszla.
Pour les Mandaloriens, la race etait d'une importance cruciale, mais Mereel accorda une chose étrange a Honorata... Il lui accorda une descendance pour que son souvenir et le souvenir de son combat demeurent dans le clan, elle aurait le droit de metre au monde une fille... Juste une fille, ni mari ni fils.
Ma mère, Lucilia.
C'est près d'Ord Mentel qu'Honorata demanda a Mereel la permission d'avoir un enfant, elle était dans sa 25eme année, cela faisait dix ans quelle partageais la vie du clan et ses batailles. Elle se randit sur la planète, dragua un jeune et beau Zabrak dans un bar et neuf mois plus tard naquit Lucilia.

Les Mandaloriens et les Death Watch se livraient une guerre sans mercie, sur Concord Dawn, Mereel avait receullit un enfant du nom de Jango Fett. Lucilia avait 10 ans.
Lucilia venait de fêter ses 20 ans quand elle prit part à sa première bataille c'était sur Khorda Six, un jour funeste pour le clan. Mereel avait été ecarté du groupe de combat principal, les Death Watch etaient alors partis à sa poursuite et l'avaient tué. Jango devint le chef du clan. Mais le coeur de Lucilia etait brisé, elle parcourait le champ de bataille à la recherche de sa mère. Honorata etait au cotés Mereel , elle ne le quitait jamais, mais rien parmis les corp déchiquetés par les éxplosions ne révéla sa presence, Lucila chercha des jours sur le champ de Bataille... Elle ne la trouva jamais...
A l'âge de 29 ans Lucila demanda à Jango le droit d'avoir un enfant, pour respecter l'engagement de Mereel, il la laissa partir, elle revins 2 mois plus tard, le clan était sur Galidraan , elle appela sa fille Fanie. L'enregistrement s'arrête peu après ma naissance.

A suivre...

Avec mon père, nous passions nos journées à chasser, il me fit voir la nature comme jamais je ne l'avais vue, il m'appris à me servir d'armes, j'etais plutôt douée de son avis. Le soir, je lisais les donnés avec une soif débordante.
-Je venait d'avoir 19 ans, j'avais passé les dernieres années a m'entrainer, a chasser, a tuer. Les donnés laissé par Honorata sur le combat et la meditation échanie etaient fabuleuses, petit a petit je façonais mon corp comme une arme meurtriere. Mon père me disait souvent qu'il n'aurait pas du, qu'aujourd'huit je lui fesait peur par momments.
Un vent de follie soufflait sur la galaxie partout on racontait le récis de bataille. Mes yeux brillait quant mon oreille croisait le recis de pilotes dans les cantinas, la galaxie etait a feu et a sang partout la guerre civile faisait rage. Et vins le jour ou je m'embarquais sur un petit cargos, se jour la ma vie pris un nouveau sens.. ho bien sur, pas le jour ou je m'embarquait sur se minable vaisseaux crasseu, mais le jour ou le cargos fut attaqué par des pirates, nous fument abordé. Un veritable carnage les hommes d'équipages etait abbatus et jeté par le sas, acculée au fond de la soute j'attendait mon tour. Un humain qui devait mesurer deux metre et pesait une centaine de kilos leva son arme vers moi, je ne sais pas se qu'il me passa par la tête, mais la peur explosa en moi, elle se transphorma en quelque chose de peu dèscriptible, mes muscles se détendirent, le monde flou qui m'entourai venait de devenir limpide, les sons les plus imperceptible devenait clair, la peur dans mon ragard devint defis, se qui décontenanca l'homme devant moi.
-Mais c'est quelle me mordrait la petite.
-C'est juste le fait que ton arme est pointé sur mois qui te laisse une infime chance de survie gros porc..... les mots sortait de ma bouches dans un calme absolus.
-Je crois que je vais m'ammusé un peu, tiens moi sa..... il vennait de tendre son arme au pirate a coté de lui, et s'avancais vers moi.
-Quant j'en aurai fini avec toi tu me supliera de te tuer petite garce.
Il envoya sa main pour attraper ma gorge, mais elle n'etait plus la, il etait encore plus lent que j'avais pu l'imaginer.J'etait passé a sa gauche, en tournant sur moi meme je venait de prendre de ma mains droite la dague qu'il avait a la ceinture et en finissant la rotation je me retrouvait derriere lui et d'un revert je tranchait les tendons de son genoux droit.
L'homme a qui il avait passé son arme, la leva a nouveau vers moi, je me precipitait sur le gros qui venait de s'écrouler en gemissant comme une truie, lui passait le couteau sous la gorge et me servait de son corps comme bouclier....
Le pirate armé se mit a hurler pour rameuter les autres, des bruits de courses se faisait entendre dans la courcive.
-Quesqu'il se passe ici ? le chef venait de parler
-La ! , la petite pute, elle a saigné Jhonas !
le Chef posa son regard sur moi, il avait la quarantaine les cheuveux grisonants, ses yeux noir brillaient dans la pénombre de la soute, il etait plutot bel homme, le stréréotype du pirate dans la tête d'une jeune fille, je croie que je suis tombé amoureuse à la seconde ou il a posé ses yeux de braise sur moi.
-Calme toi petite, lache le et on pourras parler.
-Je suis tres calme, mais si je doit mourir soit sur qu'il viendra avec moi, et avec un peu de chance j'en aurais peu être un ou deux autre avant la fin.
Pendant une disaine de secondes nos yeux ne se quitairent pas nous nous jogions l'un l'autre.
-Tres bien baisser vos armes vous autre, et sortait...
-Mais commandant, elle a eu Jhonas en moins d'un seconde elle est dangeureuse, je peu la...
-SORTAIT !
Les trois homme present baissèrent leur armes et sortirent à reculons. Le chef sortis son blaster de son etuit, le posa sur une caisse et s'avanca lentement vers moi.
-Stop!.. pas plus pres !
-Tres bien, je m'appele Larry, je suis le chef de cette bande de fripouille, et toi qui est tu ?
Jhonas ne criai plus, il se tenait fermement sa jambe morte, et portais sa plus grande attention sur se qui allais se passer.
-Je m'appele Fanie, et j'ai pas du tout l'intention de mourrir aujourd'huit, alors si on pouvait s'entendre sa sauverai la vie de jhonas et je me sentirai plus a l'aise.
Nous nous entendimes et je devint une pirate du clan de Larry, des annés nous écumions la bordure exterieure, les pirates etaient avident de richesses, mais cela ne m'interessait pas, je recherchais des information. L'informatitient du bord etait extraordinaire, un haker hors du commun il piratait les ordinateurs de bords des vaisseaux que l'on abordait et m'abrevais de connaissance je devint tres vite une spécialiste d'un domaine qui me passionait, les jedi.
La guerre civile qui fesait rage cessat presque du jour au lendemain, un bruit courrais dans la galaxie qu'un nouvel ordre venait de s'instaler que la ville republique avait etait remplacé. Et surtout un chose attira mon attention, le nouvel empire venait de déclarer les jedi hors la loi et la chasse était ouverte. J'avais 22 ans.
Je fit m'as declaration a Larry qui resta sans voie quant je lui dit que se jour la dans la soute j'etait tombé amoureuse de lui et qu'il aurait pus me tuer sans meme que je bouge un cil, je quitait les pirates et embarquait pour Coruscant par le premier transport.
J'en m'engagait dans les troupes imperiale comme mercenaire, ils ne voulaient pas de notre race dans l'armée reguliere.Je me retrouvait sur la bordure exterieure regrétant tres vite mon enrolement.
Mais, mes prouèsses au combats attirèrent vite l'attention de mon officier superieur, un colonel qui s'était retrouvé dans cette gallère apres avoir été cassé. petit a petit nous passions nos soirée a parler, petit a petit je me livrais a lui.. sans jamais lui dévoilé le passé de ma famille.
Un soir il me fit appeler.
J'entrait dans son Bureau en me mettant au garde a vous, il etait dos a moi et tournas sa tête vers moi avec un petit rictus.
-Repos soldat... repos....
-Je vous est deja dit pourquoi je me suis retrouvé ici il me semble
-Oui mon colonel, vous me l'avait dit.
-Tres bien, mais je ne vous est pas dit se qu je fesait avant cela ?
-Non mon colonel.
-Arreter ces "mon colonel", je suis un soldat comme vous, d'ailleur j'aurai aimé me mesurer à vous dans un combat a mains nue.. mais oublions qui sait ou je me retrouverai apres sa héhé.
-Heuuu.. bien mon colo..., monssieur... pardon.
-Bien, Assiez-toi.
-Voila, a la fin de la guerre civile j'etait major, je diraigais une sorte d'unitée spéciale que j'avait fondé à la demande d'un amiral qui tenait ses ordre de l'empeureur lui meme..... Mais la burocratie.. tu connait peu etre pas mais c'est une arme bien plus dangeureuse que la plus aiguisé des lames.. bref je suis vite devenus encombrant pour les burocrates et je me suis retrouvé ici avec une promotion au grade de colonel, mais j'ai gardé tout mes contact dans la haute hierarchie de l'armé et l'on me doit quelque services.
-Je voie pas en quoi cela me concerne mon col.. monssieur.
-Bien sur que non, tu ne le voie pas, alors je vais te l'expliquer, tu n'as rien a faire ici au milieu de cette bande de tire au flan a patrouiller sur des planèttes plus immondes les une que les autre, moi je suis vieux mais toi !
-Je ne comprend pas monssieur.
-Commandant ... entré je vous pris.
je me levais et saluait le commandant qui vennait de franchir le seuil de la porte, il portais un uniforme noir, son regard d'acier se posas sur moi.
-Mon Colonel ... ses talons claquèrent.
-Repos commandant, asseyaiez vous... je vous presente le Soldat fanie, le soldat dont je vous est parler.
son regard etait toujour posé sur moi le me regardait de haut en bas détaillant tous mes muscles... cet homme n'etait pas un soldat ordinaire c'etait un guerrier, cela se devinait à sa posture, à sa maniere d'évoluer, il métrisait entirement l'espace qui l'entourait.
-Soldat fanie je vous présente le Comandant Jhoansson, il dirige l'unitée que j'ai jadis fondé et quant j'ai été mit sur cette voie de garage je me suis arangé pour que le commandemant de l'unité lui revienne.... se soir vous allez partir avec lui.
-Pardon ? ... mes yeux venait de trahir mon étonement.
-Vous avez tres bien entendue se soir vous aller faire votre paquetage et rejoindre son unitée.
-Mais .... je suis une Zabrak, je ne peu pas.... etre incorporer dans une unitée reguliere monssieur, je ...
-Soldat !.. le commandant venais de me coupé la parole
-Vous n'aller tout de meme pas discuter l'ordre de votre officier supperieur, surtout si cette ordre et le seul qui puisse vous donné se que vous chercher ?
-Pardon mon commandant ?
-Mon unitée n'as rien de régulière, peu importe la race, nous recherchons des qualitée et d'apres se que j'ai pus aprendre sur vous de la par du colonel Travis, vous possédait les qualitées que nous recherchons... Alors, faite votre paquetage je vous attend sur l'aire de décolage dans 15 minutes !
Une navette etait posé sur la piste, deux hommes en armes se trouvaient pres de la passerelle, ainsi que le Comandant johansson les mains dans le dos, je devinais son regard juste sous la visiere de sa casquette. mon sac sur l'épaule je passais a sa hauteur d'un bref signe de la tête il me fit signe de monté a bord, il m'emboita le pas sur la passerelle.
Le choc fut tres violent, je me retrouvais au sol , à plat ventre, je venais de ressevoir un terrible coup dans les reins. je me retournais instantanemant sur le dos pour identifier se qui etait en train de m'arriver. Le Commandant Johansson de déplassait parpendiculairement a moi, il avait jeter sa casquette et il etait en train de deboutoner sa vareuse.
-Sa vas être un peu plus compliqué que sa, petite zabrak.....
Je me relevais les reins en feu, j'avait du mal à me maintenir droite, commencais alors une danse du regard chacun essayer de trouvé le point faible de l'autre.... je ne savait par ou l'attaquer, il se déplacait comme un felin.
-Prète petite Zabrak ?
D'un signe de tête je lui dit que oui, j'était prète... je ne l'était pas vraiment.
Une feinte au visage, une autre au jambes, et la paume de sa main s'écrasat sur ma poitrine qui expulsa l'air contenus dans mes poumons et me projeta au sol, d'une roulade j'evitais son point qui frappas avec force le plancher de la navette à l'endroit ou se trouver mon visage une fraction de seconde avant.
D'un coup circulaire j'evoyait ma jambe vers l'arriere de son crane, mais il esquvas, nous roulames chacun d'un coté, et nous fumes de nouveau debout face a face...
-Si tu me deçoit ... tu meurt, Zabrak.
-J'esquivais ces deux attaque suivantes, une du moins, la deuzieme me toucha au visage, mais ne me déséquilibra pas et je pus contre attaqué, mais encore je tapais dans le vide... Ou cette homme avait apris a se battre de la sorte ?
Il contre attaqua une de mes attaques avec une clef de bras et se retrouva derriere moi, son bras droit tordait le miens dans mon dos et son bras gauche m'étranglais puissament.
-Tu as un pied dans la tombe Zabrack !
-Je tentait le tout pour le tout, j'avais passer des année à musclé les points faible de mon corp et ma nuque etait solide, je pris appuis avec les pieds sur le dossier d'un siege et poussait violament en arriere, la reponse ne se fit pas attendre, il s'aquebouta sur moi et poussat en sens inversse. Je lachait ma prise sur le siège et mis toute l'energie de mon corp dans une torssion se qui eu pour effet de nous envoyer valdinguer tout les deux sur le sol , dans ma rotation je gardais les yeux rivé sur son visage et mon coude s'ecrasa sur sa paumette qui explosa dans un craquement. Un coup de genoux m'envoya à l'autre bout de la salle, je me relevais d'un bon.
Le comandant Johansson, passa sa mains sur sa paumette qui saignait, elle devait etre fendue. Je me jettais sur lui.... Je ne sais comment je me retrouvais a plat ventre son genoux planté dans mes reins et une lame sous la gorge.... je fermais les yeux...
-Clame toi soldat....Bienvenue, tu viens d'etre reçus dans mon unitée, notre nom de code est "Swords of Haven".
Délicatement, il retira la lame plaqué sur ma gorge et un des soldat qui etait devant la navette m'aida à ma relever avec un tape sur l'épaule.
Le comandant Jhoansson dirigait une unitée extraodinaire, j'y est rencontré les plus grand guerriers que j'ai connus durant ma vie. L'entrainement était terifiant, mais le but de cet escadron etait pour moi le but de ma vie, le colonel Travis l'avait compris, il savait que je serait comme un poisson dans l'eau, il savait que je me donnerai a fond... Le but de cet escadron etait la traque et l'elimination des jedis dans la galaxie, nous avions le meilleur materiel imperial, les vaisseaux les plus rapide de la galixie des armes devastatrice non règlementaire. Nos informaticiens avaient accés à toute les bases de donné impériale, nos ordinateurs rassemblaient la totalité des archives récupérés dans le Temple de corruscant. Et les hommes.... les hommes de cet escadron n'était pas des trouffions comme ont en voie dans l'armé reguliaire, c'était des guerriers, rompus a toute les techniques de combats, à mains nue , armes blanches, armes à energy, armes lourdes, ils avaient une connaissance parfaite des arts du combats. Sur un chant de bataille c'était de véritables chiens de guerre.



A suivre...